Afterwork japonais.

1001 km d'artistes, ça démarre !

J’ai réalisé mes premières interviews dans le cadre de 1001 km d’artistes. Incroyable. Tout a été tellement vite. A peine 24 h que je suis au Japon et déjà un afterwork !

J’avais rendez-vous avec Sanae Yanagi à la galerie Jinen. Encore une fois, impossible de trouver le chemin.

Ici pas de nom de rue d’après ce que j’ai compris. Des arrondissements divisés en quartiers, divisés en blocs. Une femme a eu l’amabilité de nous y conduire.

premières interviews

Les interviews se sont super bien passées, mais j’ai encore beaucoup de progrès à faire. Par exemple j’ai tout bêtement oublié de faire le cadavre exquis.

Le coexoposant de Sanae, Kaoru Edamoto, et le galeriste, Kanno Jinnen, se sont aussi prêté au jeu.

Afterwork

Sanae nous a proposé de la rejoindre pour dîner avec des amis, eux aussi artistes, après la fermeture de la galerie.

On a improvisé une interview autour de la table de resto. Celle de son mari.

 

J’aurais bien interviewé un autre artiste, Yabesuke, mais avant le sake il était trop timide et après c’était un peu plus compliqué ;). (les rencontres artistiques seront bientôt disponibles sur mon autre blog : 1001 km d’artistes.)

Délicieux afterwork à Tokyo

On s’est retrouvé dans une sorte de petit boui boui local, dans un endroit où je serai bien incapable de retourner mais vraiment délicieux. Les petits plats et le saké ont défilé sur la table pendant plusieurs heures.

Les bouteilles de saké sont énormes.

  • Soit tu bois seul et on te le sert devant toi dans un verre qui est dans une coupelle pour ne pas en perdre une goutte si ça déborde du verre. Et ça déborde du verre. Ca s’arrête ras la coupelle.
  • Soit on est plusieurs à en boire à la table, ils nous apportent un pichet en métal et le remplissent aussi souvent que nécessaire. C’est à dire chaque fois qu’il est vide.

 

 

 

Kampai !

Les bouteilles de saké sont énormes.

 

  • Soit tu bois seul et on te le sert devant toi dans un verre qui est dans une coupelle pour ne pas en perdre une goutte si ça déborde du verre. Et ça déborde du verre. Ca s’arrête ras la coupelle.
  • Soit on est plusieurs à en boire à la table, ils nous apportent un pichet en métal et le remplissent aussi souvent que nécessaire. C’est à dire chaque fois qu’il est vide.
 
Dès que le resto se calme les serveurs re-sortent les bouteilles et s’écrient :  KAMPAI !!!

Tokyo le 9 juillet.

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