
07 Fév Au boulot ! hop, hop, hop ! 1er – 7 février.
Quand ça fait des mois que tu bosses sur un truc et que ça n’avance pas, il est tant de s’activer !
Objectif : boucler les commandes !!!
Lundi :

- Retour à la maison. Beaucoup de boulot car j’aimerais que tout soit déjà fait. Tout me parait prioritaire… Et si je prioritise vraiment alors le reste sera mouse costaud quand il faudra s’y mettre.
- Je travaille sur la seule vraie priorité : la conversation avec un poisson.

Mardi :

- Journée administrative. Allez savoir pourquoi les factures sont prioritaires sur les gravures ?
- Je réponds à chaque retour qui m’a été fait de ma newsletter. 50 mails, chaque fois différents et de petites intentions surprises …
Mercredi :

- Suivi personnel avec Olivier.
Partagée entre passé et futur.
Je n’ai plus de problème de temps.
C’est pire, j’ai un problème de priorisation. Si je ne prépare pas demain (l’après-commande) aujourd’hui, alors demain il n’y aura rien. La seule chose c’est que préparer demain m’empêche de créer aujourd’hui, donc finalement c’est aujourd’hui que j’ai un trou. Passé, présent, futur sont totalement emmêlés. Lorsque la journée s’achève je me dis que j’ai fait plein de choses, mais à la fin de la semaine je vois que rien n’a bougé. Frustrant.
Je me dis que je devrais faire l’ermite, mais avec tout ce que j’ai entamé, si je m’enferme dans mon atelier que va-t-il advenir de tout mon travail de com ? Pourtant il faudrait vraiment tout lâcher pour reprendre les commandes.
Et si on m’oubliait ?
Je suis partout et nulle part à la fois.
Olivier revient à la charge avec l’idée d’une expo. Une expo-vente flash. 2 jours. Pour renflouer les caisses du présent et me réencrer dans ce présent, reprendre contact avec la réalité en étant face à des acheteurs concrets et non potentiels. Il propose de faire une expo pour lancer la boutique en ligne.
Jeudi :

- Coup de mou.
- J’essaie de me convaincre que je dois tout laisser tomber. Puis je me dis que ce n’est pas dramatique, si je m’enferme dans l’atelier pour faire des commande, je documenterai ça. Un journal de bord insta ?
- Je pourrais utiliser la trame de ma newsletter pour Fb et Twitter.
- webinaire d’Amylee sur le persona (le client idéal). Ca m’a apporté des astuces mais pas de vraie solution. J’ai constaté un profil qui se démarquait nettement chez mes acheteurs, mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi. Du coup c’est compliqué de démarcher pour agrandir mon réseau.
Vendredi :

- Chaque fois je me dis que c’était la dernière, que je ferais mieux la prochaine fois. Chaque fois c’est pire. J’avais estimé 6 semaines pour finir les commandes, finalement ce sera plutôt 10. Avec la liste de mes priorité mon planning est bouclé jusqu’en juin …
- Donc oui, une fois de plus j’ai refait un planning.
- J’accepte l’expo d’Olivier. J’ai envie d’exposer mes œuvres en diptyque avec les textes d’Ester. Les textes qu’elle écrits sont complémentaires de l’œuvre. Ils la révèlent au monde. Je demande à ne pas exposer seule. En effet vu la situation, il risque d’être difficile de faire bouger tout mon carnet d’adresse. Mais si je peux me permettre d’être exigeante, que ce soit avec quelqu’un qui communique sinon ça ne sert à rien…
- J’avance la gravure de la conversation avec un poisson.
- J’envoie une nouvelle newsletter.
Samedi :

- Retour positifs de ma newsletter. Les gens répondent et me disent qu’ils sont contents de ce format hebdomadaire et qu’ils apprennent plein de chose.
- Visite aux cousin.
- Travail sur les textes de ventes.
- Non je n’ai pas gravé autant que j’aurais dû. Mais un petit peu quand même. C’est trop bizarre la relation avec cette matrice. Elle m’attire et me paralyse en même temps.
Dimanche :

- J’ai enfin terminé la gravure du bloc clé de la conversation avec un poisson.
- Je lance un nouveau feed insta, spécial « avec le temps les mots deviennent insensés ».
No Comments