De Takeshita street à Meiji-jingo.

Super journée aujourd’hui, malgré un réveil un peu trop tardif. Du coup on reporte la visite du marché aux poissons demain et on prend la direction de Takeshita Street.
De là, nous sommes allées au temple Meiji-Jingo.

Takeshita, la rue Kawai

Takeshita est une rue commerciale incroyable qui correspond semble sorti tout droit d’un animé japonais.

Ce qui m’a le plus marquée, c’est la profusion de sucreries multicolores. Des barbes à papa arc-en-ciel, des glaces en forme d’animaux, des crêpes qui sont de véritables œuvres d’arts.

Vus à Takeshita street.

  • De nombreux bars à animaux. 15€ la demi-heure. Je n’y suis pas encore allée mais ça m’intrigue et je ferai bien quelques croquis.
  • Un porte bubble tea en forme de peluche.
  • une femme qui avait habillé son chat en chien !!! Je veux dire par là qu’elle avait mis son chat dans un costume de chien et tu comprends que ce n’est pas un chien en peluche que lorsque tu vois la petite tête du chat sous les grandes oreilles.
  • Il y a tout ce qu’il faut pour transformer les enfants en poupées.

Visite du temple de Meiji-jingo.

Situé dans un grand parc, reposant et accueillant, l’entrée est remarquable avec sa grande porte dans un écrin de végétation
A l’entrée du temple on se rince les mains et la bouche.

Typiquement asiatique, un vieil homme passe sa journée à balayer les feuilles pour une allée toujours impeccable.

La prière en 5 étapes.

  • jeter une pièce,
  • s’incliner 2 fois,
  • taper des mains 2 fois,
  • faire sa demande
  • s’incliner encore avant de partir.

Pause Tacoyaki.

J’ai découvert ces boulettes de poulpes à Paris pendant les cours de japonais. Je vais me régaler au cours de ce voyage !

tacoyaki

Estampes et Tenugi.

Estampes japonaises.

Toujours dans ce quartier il y avait un musée d‘estampes japonaises. Pas très grand mais que de merveilles

Pas possible de prendre des photos. Trop de détails et de finesses pour oser me lancer dans un dessin.

Heureusement à la fin du musée, il y avait des bouquins. Le choix était très dur. Je n’ai pas pris celui qui avait le plus d’images mais le seul avec une traduction en anglais car il me semble qu’il constitue une bonne introduction.

Il parle des différents thèmes de l’estampes et complète un peu plus les infos techniques que j’étais déjà parvenue à recueillir.

La superposition des motifs, le gaufrage, et la représentation de la pluie me captivent toujours autant. Et malgré tous les nouveaux artistes que j’ai découverts Hiroshige reste indépassable pour ce qui est la maîtrise des couleurs. Intenses et lumineuses.

Tenugui

J’ai aussi découvert le « tenugui » . Pour faire simple un rectangle de tissu avec lequel on peut faire tout un tas de truc sans couture. Même un sac à main, dans une version plus sophistiquée qu’un baluchon (remplacer les gros nœuds par une jolie pince en bois.

Ces tissus sont imprimés par pochoir et on un rendu proche de l’aquarelle. Je veux absolument tester !!!

 

En savoir plus sur le tenugi.

Tokyo, le 9 juillet 2019.

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