Le bonheur est dans l’assiette.

Hiroshima semble être la capitale des okonomiyakis, un délice qui serait le croisement entre une crêpe et une omelette, garnie de nouilles, de legumes, de viande, d oeuf et, pour celle que j’ai mangé ce soir de fromage.

A moins d’un kilomètre de notre hôtel (vraiment bien situé pour le coup) se trouve un paradis : Okonomi mura.Sur 3 étages, il y a 25 restaurants qui servent tous des okonomiyakis. Alors là panique à bord comment chosir ? Et quand enfin tu te decides pour un tu oublies son nom avant d arriver à l ascenseur. Mais ce n’est pas grave car en fait tu crois que c estvtoi qui choisis ton resto mais c’est le cuistot qui te choisi. En effet ici ça ne marche pas au nombre de pmaces assise mais à la disponibilité du cuisinier et dès qu’il a honoré sa commande il appelle de nouveaux clients. A peine sorties de l ascenseur c est une petite dame qui nous interpelle « hai dozô ». Au début on comprend pas trop mais elle insiste et vu que ce que les autres mangent leur plait on s installe. Et là c’est vraiment le truc que j’adore au Japon, elle cuisine juste devant toi car tout le comptoir est doublé d une plaque chauffante et ensuite ton okonomiyaki reste donc au chaud le temps que tu la savoures.

Quand j j’ai décidé de partir en residence au Japon je voulais travailler sur les paysages et la pluie. Avant de partir je pensais plutôt à mon chat et donc à enfin travailler sur une idée qui me trotte en en tête, par intermittence, depuis une dizaine d’années. Mais finalement je crois que je vais faire une série sur la bouffe et les restos. Parce qu en plus d’être « tottemo oishii  » (extrêmement délicieux) c’est juste passionnant. Un régal pour les sens.

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