Le soulier magique

Scène du film Le soulier magique.

Je me suis fait plaisir. Aujourd’hui, je souhaitais vous parler d’un film qui a eu une grande importance dans mon orientation :

Le soulier magique.

Alors que je cherchais sur internet si je pourrais trouver ne serait-ce que le nom des acteurs de ce téléfilm du début des années 90, j’ai découvert que je pouvais le visionner en entier sur YouTube !!!! Mais quel bonheur ! Je crois que je n’ai pas vu ce film depuis l’invention du DVD ! Quelle émotion ! Mon ami avait déjà emprunté le magnétoscope de La P’tite Famille, afin de visionner de vieux films, mais nous n’avions pas encore retrouvé la vidéo en question.

Résumé.

Le soulier magique (if the Shoe Fits) est donc un téléfilm de 1990, avec

  • Jennifer Grey (dirty dancing ! Vous savez que j’ai aussi fait de la danse de salon ?:D)  
  • Rob Lowe
  • Andréa Ferréol

L’histoire se déroule à Paris, le long de la Seine. L’héroïne Kelly dessine des chaussures. Avec sa meilleure amie, elle est habilleuse chez un grand couturier. Ce dernier cherche à renouveler « l’image de la collection ». C’est-à-dire à dégager les mannequins pour les remplacer par d’autres.

Alors que Kelly, se rend à un rendez-vous pour présenter ses chaussures, dont elle a fait réaliser une paire, elle aperçoit une femme totalement tête en l’air qui s’apprête à traverser au mauvais moment. Kelly lui sauve la vie, mais les chaussures se font écraser. Plus question de se rendre au rendez-vous. Heureusement la drôle de petite dame est en réalité une fée. A partir de là l’histoire vire « Cendrillon ». D’ailleurs ses coloc’ sont du même acabit que les belles sœurs de Cendrillons.

Son amie lui conseille de se rendre à la soirée du grand couturier pour tenter une approche. Kelly se prépare. Et lorsqu’elle met les chaussures, elle qui est plutôt garçon manqué, devient méconnaissable. Le couturier tombe amoureux d’elle, dès qu’il la voit. Elle accepte de devenir la « nouvelle image » à une condition : qu’il emploie Kelly pour dessiner les chaussures.

Il s’ensuit toute la partie ou Kelly doit être à deux endroits en même temps. Et les difficultés d’être mannequin quand tu ne peux mettre qu’une seule et même paire de chaussures. A la fin, le couturier choisit la Kelly naturelle.

Influences

Dessin de chaussure, réalisé à l’âge de 15 ans.

Les chaussures ! Le dessin ! C’est ça que j’adorais dans ce film. L’histoire d’amour est une histoire à l’eau de rose comme toutes les autres, mais le lieu de l’action faisait rêver. Je pouvais passer des heures devant ce film juste pour voir les dessins, la regarder dessiner. D’ailleurs de nombreuses années après, je rêvais de m’acheter un grand book, comme le sien pour ranger les dessins. Pour faire comme elle.

C’est de là que vient la fameuse phrase :

Un bout de papier n’a jamais fait le talent.

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