Capturer l’humanité.

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Suzanne a le regard sévère. 

Elle nous observe, nous interroge, nous examine.
Elle veut établir un art nouveau. 

Son ambition est de reproduire la réalité sans fard. 

Pour déshabiller le réel et déjouer les apparences, 

elle a élaboré un plan : provoque notre mal à l’aise.

Nous pensons être les protagonistes,

En réalité, elle nous teste. 

Comment allons-nous réagir face à son regard perçant ? 

Saurons-nous rester naturels ? 

Après tout qu’avons-nous si peur de montrer ? 

Créer c’est  perdre son intimité. 

Révéler ses secrets

Pour capturer l’humanité.

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Capturer l’humanité, linogravure de Laura Loriers.

Titre : Capturer l’humanité.

(En tête-à-tête avec Suzanne Valadon II)

Artiste : Laura Loriers dit le Graveur Fou.

Date de création : 2021

Thème : Histoire de l’art, Suzanne Valadon, femme, portrait.

Œuvre référence : Autoportrait, 1911, de Suzanne Valadon.

Style : art figuratif,

 

Informations techniques de l’estampe :

Technique : linogravure.

Format gravure : 10 x 10cm

Format estampe : 20 x 15 cm

Couleur  dominante : noir vignette de Charbonnel.

Support : papier Hahnemühle 230g/m2

Nombre d’exemplaires : 10

Système d’accrochage : non inclus.
Système d’accrochage conseillé : cadre photo 20×15 cm, baguette noir.

 

Selon les codes de l’estampes :

 

Chaque estampe est signée, numérotée et datée sous l'image et au crayon à papier. Les papiers sont coupés au coupe-papier afin de conserver les franges (l'aspect déchiré ) caractéristique des estampes d'art et si cher aux amateurs de gravures  et de bibliophilie.

 

Numéro dans l’édition, à gauche sous l’image.
Titre, au centre, sous l’image.
Signé et daté à droite, sous l’image.

 

 

En tête-à-tête avec Suzanne Valadon.

Son atelier, rue Cortot dans le quartier de Montmartre à Paris est un de mes endroits préférés. C'est sûrement ce qui m'a conduite à vouloir travailler sur Suzanne Valadon. Réinterpréter la peinture en linogravure et ainsi créer un dialogue avec l'artiste du passé puis interroger. Suzanne Valadon était fort connue de son vivant. Pourquoi fut-elle oublier dès le jour de sa mort ? Parce-qu'elle était femme où montrait une réalité trop crue pour être acceptée ? A l'origine, la gravure était un art de diffusion qui permettait aux peintres d'être connus à l'étranger. Avec mes gouges, je désire m'encrer dans cette tradition et contribuer à lui restituer la place qui lui est due.      

Quelques mots sur l'artiste.

Diplômée des Beaux-arts et passionnée de gravure Laura Loriers a beaucoup voyagé dans le but d’enrichir sa technique. C’est lors d’une résidence au Japon qu’elle prend le pseudonyme du Graveur Fou et décide de promouvoir l’estampe et l’histoire de l’art au près du plus grand nombre. A travers son travail, elle véhicule des valeurs qui lui sont chères : la générosité, le partage et l'authenticité.