Aux amitiés féminines.

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Clara et Emie se sont rencontrées à l’école primaire. 

Elles partageaient le même bureau. 

C’était bien leur seul point commun. 

Emie était brune, gringalette et d’une timidité maladive. 

Clara était blonde, voluptueuse et d’une extravagance maladroite. 

Pourtant, elles ont noué une amitié que les années n’ont jamais égrenée. 

Ce drôle de duo a traversé les épreuves et le temps sans se perdre de vue. 

Tous les mois, depuis plus de 30 ans, elles se retrouvent le temps d’un dimanche après-midi pour prendre soin d’elles. 

C’est leur rituel face à la cruauté du Monde. 

Une bulle réconfortante qui leur permet d’oublier leurs amours déçus, toutes ces rencontres accumulées qui les ont blessées avant qu’elles aient eu le temps de s’aimer. 

Clara et Emie se livrent à des confidences, elles n’ont jamais renoncé à leur grand rêve. 

Un jour elles développeront leur petite affaire, un lieu où les femmes pourront se reposer de faire. 

Un lieu où elles pourront se montrer sans maquillage ni habits soignés. 

Un lieu où les miroirs ne les jugeront pas à leurs apparences mais sauront accueillir leurs âmes.

Ce lieu chaleureux s’appellera Aux Amitiés féminines et sera un hymne à la sororité. 

Quelle amie voulez-vous y convier  ? 

Il n’est jamais trop tard pour retrouver le goût de son enfance.

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Aux amitiés féminines, linogravure de Laura Loriers alias Le Graveur Fou.

Titre : Aux amitiés féminines.

(En tête-à-tête avec Suzanne Valadon XVII)

Artiste : Laura Loriers dit le Graveur Fou.

Date de création : 2022

Thème : Histoire de l’art, Suzanne Valadon, baigneuse, nu

Œuvre référence : Les baigneuses, 1923, de Suzanne Valadon.

Style : art figuratif,

 

Informations techniques de l’estampe :

Technique : linogravure.

Format gravure : 10 x 10 cm

Format estampe : 20 x 15 cm

Couleur  dominante : noir vignette de Charbonnel.

Support : papier Hahnemühle 150g/m2

Nombre d’exemplaires : 10

Système d’accrochage : non inclus.
Système d’accrochage conseillé : cadre photo 20×15 cm, baguette noir.

 

Selon les codes de l’estampes :

 

Chaque estampe est signée, numérotée et datée sous l'image et au crayon à papier. Les papiers sont coupés au coupe-papier afin de conserver les franges (l'aspect déchiré ) caractéristique des estampes d'art et si cher aux amateurs de gravures  et de bibliophilie.

 

Numéro dans l’édition, à gauche sous l’image.
Titre, au centre, sous l’image.
Signé et daté à droite, sous l’image.

 

 

En tête-à-tête avec Suzanne Valadon.

Son atelier, rue Cortot dans le quartier de Montmartre à Paris est un de mes endroits préférés. C'est sûrement ce qui m'a conduite à vouloir travailler sur Suzanne Valadon. Réinterpréter la peinture en linogravure et ainsi créer un dialogue avec l'artiste du passé puis interroger. Suzanne Valadon était fort connue de son vivant. Pourquoi fut-elle oublier dès le jour de sa mort ? Parce-qu'elle était femme où montrait une réalité trop crue pour être acceptée ? A l'origine, la gravure était un art de diffusion qui permettait aux peintres d'être connus à l'étranger. Avec mes gouges, je désire m'encrer dans cette tradition et contribuer à lui restituer la place qui lui est due.      

Quelques mots sur l'artiste.

Diplômée des Beaux-arts et passionnée de gravure Laura Loriers a beaucoup voyagé dans le but d’enrichir sa technique. C’est lors d’une résidence au Japon qu’elle prend le pseudonyme du Graveur Fou et décide de promouvoir l’estampe et l’histoire de l’art au près du plus grand nombre. A travers son travail, elle véhicule des valeurs qui lui sont chères : la générosité, le partage et l'authenticité.