La vie de bohème.

80,00 

Sonia revient de son atelier de peinture où elle assiste le peintre le plus renommé de Paris. 

Exténuée par sa journée, elle se laisse aller. 

Elle ôte ses sous-vêtements, libère son tempérament. 

Loin de la bienséance, elle oublie la nuance. 

S’adonne à ses vices pour son plus grand délice.  

Elle pose son roman, allume sa cigarette et médite sur la planète. 

Elle se demande ce qu’elle peut faire pour préserver la terre. 

Sonia trouve ainsi son prochain projet : 

Vivre à la campagne, ouvrir son propre atelier pour devenir une patronne. 

Il n’y a pas de meilleur moment que cette nuit pour débuter 


sa vie bohème. 

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La vie de bohème, linogravure de Laura Loriers alias Le Graveur Fou.

Titre : La vie de bohème.

(En tête-à-tête avec Suzanne Valadon XII.)

Artiste : Laura Loriers dit le Graveur Fou.

Date de création : 2022

Thème : Histoire de l’art, Suzanne Valadon, portrait

Œuvre référence : La chambre bleue, 1923 de Suzanne Valadon.

Style : art figuratif,

 

Informations techniques de l’estampe :

Technique : linogravure.

Format gravure : 10 x 10 cm

Format estampe : 20 x 15 cm

Couleur  dominante : noir vignette de Charbonnel.

Support : papier Hahnemühle 230g/m2

Nombre d’exemplaires : 10

Système d’accrochage : non inclus.
Système d’accrochage conseillé : cadre photo 20×15 cm, baguette noir.

 

Selon les codes de l’estampes :

 

Chaque estampe est signée, numérotée et datée sous l'image et au crayon à papier. Les papiers sont coupés au coupe-papier afin de conserver les franges (l'aspect déchiré ) caractéristique des estampes d'art et si cher aux amateurs de gravures  et de bibliophilie.

 

Numéro dans l’édition, à gauche sous l’image.
Titre, au centre, sous l’image.
Signé et daté à droite, sous l’image.

 

 

En tête-à-tête avec Suzanne Valadon.

Son atelier, rue Cortot dans le quartier de Montmartre à Paris est un de mes endroits préférés. C'est sûrement ce qui m'a conduite à vouloir travailler sur Suzanne Valadon. Réinterpréter la peinture en linogravure et ainsi créer un dialogue avec l'artiste du passé puis interroger. Suzanne Valadon était fort connue de son vivant. Pourquoi fut-elle oublier dès le jour de sa mort ? Parce-qu'elle était femme où montrait une réalité trop crue pour être acceptée ? A l'origine, la gravure était un art de diffusion qui permettait aux peintres d'être connus à l'étranger. Avec mes gouges, je désire m'encrer dans cette tradition et contribuer à lui restituer la place qui lui est due.      

Quelques mots sur l'artiste.

Diplômée des Beaux-arts et passionnée de gravure Laura Loriers a beaucoup voyagé dans le but d’enrichir sa technique. C’est lors d’une résidence au Japon qu’elle prend le pseudonyme du Graveur Fou et décide de promouvoir l’estampe et l’histoire de l’art au près du plus grand nombre. A travers son travail, elle véhicule des valeurs qui lui sont chères : la générosité, le partage et l'authenticité.