Les porte-blessures.

150,00 

Shiro s’engage dans une lutte.

Un tigre-chat tente de s’emparer du collier offert par ses parents.

Alors, il ne se laisse pas faire.

Ce collier, c’est son porte-bonheur.

Depuis son enfance, il le protège des malheurs.

Même si sa vie est devenue une lutte, il ne va pas se résigner.

Il ne quittera pas son monde pour suivre le tigre-chat.

Il veut rester en enfance !

Grandir, est-ce que cela en vaut la peine ?

Au fond pourquoi perdre la douce attention de ses protégés ?

Ce collier l’attache à son passé.

Il lui rappelle que ses parents sont ses porte-blessures.

 

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Les porte-blessures, linogravure de Laura Loriers.

Titre : Les porte-blessures (rends-le moi !).

Artiste : Laura Loriers dit le graveur fou.

Date de création :  2019

Thème : Japon, Jizô

Style : art figuratif, art naïf

Informations techniques de l’estampe :

Technique : linogravure.

Format gravure : 30×30 cm

Format estampe : 20x 30 cm

Couleur  dominante : Noir et Blanc (noir vignette de Charbonnel.)

Support : papier Hahnemühle 125g/m2

Nombre d’exemplaires : 5

Système d’accrochage : non inclus.
Système d’accrochage conseillé : cadre photo 30×30 cm, cadre noir ou cadre  de 40×40 cm avec passe partout blanc.

Selon les codes de l’estampes :

Signature, date, titre et numérotation sont marqués au crayon à  papier sur chaque linogravure.

 

Derrière la gravure, l’histoire.

C’est au cœur de Miyajima, que j’ai découvert ces statuettes. Dès les premiers pas, je fut enchantée : tout le chemin menant au temple était parsemé de Jizôs.

Jizô est un bouddha qui veillent sur les enfants, les console en l’absence de leur parents, et joue avec eux lorsqu’ils sont mortLes mères ayant eu le malheur de perdre un enfant habillent les statuettes de colliers de perles porte-bonheur et de bonnets de laine afin de les protéger du froid mais aussi de tisser un lien avec eux.

Quelques mots sur l'artiste.

Diplômée des Beaux-arts et passionnée de gravure Laura Loriers a beaucoup voyagé dans le but d’enrichir sa technique. C’est lors d’une résidence au Japon qu’elle prend le pseudonyme du Graveur Fou et décide de promouvoir l’estampe et l’histoire de l’art au près du plus grand nombre. A travers son travail, elle véhicule des valeurs qui lui sont chères : la générosité, le partage et l'authenticité.