Surmonter l’échec ou célébrer la victoire.

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On offre des fleurs pour remercier ou pour célébrer les vivants.

On offre aussi des fleurs pour commémorer les disparus. 

Chaque jour recèle une opportunité pour offrir ou recevoir des fleurs.

Le plus féérique est que chaque fleur possède son langage, un langage invisible. 

Le drame c’est qu’
il faut prendre le temps de s’arrêter pour le saisir. 

Observez le bouquet qui trône au centre de votre table. 


Entendez-vous les murmures de ce souvenir ? 

Parvenez-vous à raviver un sourire ?

Ce moment suspendu vous plonge dans la nostalgie du passé.

Pourtant,
vous n’avez jamais été aussi vivant que dans cet instant. 

Vos sens s’éveillent, ils s’émerveillent par l’amour qui emplit de nouveau l’espace. 

Vous oubliez la douleur des épines. 

Pourtant, vous savez que même les plus belles victoires cachent leur lot de souffrances.

Chaque fleur est un échec surmonté.

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Surmonter l’échec ou célébrer la victoire, linogravure de Laura Loriers alias Le Graveur Fou.

Titre : Surmonter l’échec ou célébrer la victoire.

(En tête-à-tête avec Suzanne Valadon XXVI.)

Artiste : Laura Loriers dit le Graveur Fou.

Date de création : 2022

Thème : Histoire de l’art, Suzanne Valadon, nature morte, fleurs

Œuvre référence : Bouquet de fleurs, 1930, de Suzanne Valadon.

Style : art figuratif,

 

Informations techniques de l’estampe :

Technique : linogravure.

Format gravure : 10 x 10 cm

Format estampe : 20 x 15 cm

Couleur  dominante : noir vignette de Charbonnel.

Support : papier Hahnemühle 230g/m2

Nombre d’exemplaires : 10

Système d’accrochage : non inclus.
Système d’accrochage conseillé : cadre photo 20×15 cm, baguette noir.

 

Selon les codes de l’estampes :

 

Chaque estampe est signée, numérotée et datée sous l'image et au crayon à papier. Les papiers sont coupés au coupe-papier afin de conserver les franges (l'aspect déchiré ) caractéristique des estampes d'art et si cher aux amateurs de gravures  et de bibliophilie.

 

Numéro dans l’édition, à gauche sous l’image.
Titre, au centre, sous l’image.
Signé et daté à droite, sous l’image.

 

 

En tête-à-tête avec Suzanne Valadon.

Son atelier, rue Cortot dans le quartier de Montmartre à Paris est un de mes endroits préférés. C'est sûrement ce qui m'a conduite à vouloir travailler sur Suzanne Valadon. Réinterpréter la peinture en linogravure et ainsi créer un dialogue avec l'artiste du passé puis interroger. Suzanne Valadon était fort connue de son vivant. Pourquoi fut-elle oublier dès le jour de sa mort ? Parce-qu'elle était femme où montrait une réalité trop crue pour être acceptée ? A l'origine, la gravure était un art de diffusion qui permettait aux peintres d'être connus à l'étranger. Avec mes gouges, je désire m'encrer dans cette tradition et contribuer à lui restituer la place qui lui est due.      

Quelques mots sur l'artiste.

Diplômée des Beaux-arts et passionnée de gravure Laura Loriers a beaucoup voyagé dans le but d’enrichir sa technique. C’est lors d’une résidence au Japon qu’elle prend le pseudonyme du Graveur Fou et décide de promouvoir l’estampe et l’histoire de l’art au près du plus grand nombre. A travers son travail, elle véhicule des valeurs qui lui sont chères : la générosité, le partage et l'authenticité.